Puisque l’éventail des notes que l’on peut jouer sur certains instruments est vaste, on trouve généralement au début de la portée un symbole indiquant la hauteur : la clef. Celle-ci permet de situer un point de départ de l’amplitude, dans les sons graves, moyens ou aigus.

Ainsi, lorsqu’on lit une partition de piano, on [Lire la suite]

On appelle gamme l’ensemble croissant ou décroissant des notes successives qui s’étendent sur une octave. Par exemple : Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, (Do). Concept universel issu de la tradition musicale occidentale, la gamme se déploie en une multitude de subtilités.

Généralement, on parle de gammes majeures, mineures et [Lire la suite]

Apparue au cours du XIIe siècle, la portée est une figure des plus communes pour quiconque est familier avec la musique occidentale. D’abord constituée d’un seul trait approximatif, elle a évolué jusqu’à comporter cinq lignes et quatre interlignes au cours de la Renaissance.

C’est sur ces lignes et ces interlignes que l’on [Lire la suite]

La gamme couramment utilisée en Chine et au Japon est dite pentatonique, mais elle est également souvent appelée « gamme chinoise ». Contrairement à la gamme tempérée, la plus courante dans le monde occidental moderne et comprenant sept tons, la gamme pentatonique permet de jouer cinq hauteurs de son.

On attribue l’invention d’une forme de notation antérieure à la portée actuelle à un moine bénédictin italien nommé Guido d’Arezzo. Devant les difficultés des moines à mémoriser les chants, il tente alors de trouver une façon de faciliter leur apprentissage en attribuant à chaque note une position fixe. Sa méthode permet [Lire la suite]

Sur une partition, on retrouve des symboles indiquant l’altération d’une note, comme le bémol et le dièse. Ceux-ci peuvent se trouver sur la clef ou encore à côté de la note concernée. Cependant, pour annuler l’effet d’un bémol ou d’un dièse et ramener la note à sa valeur naturelle, on place un autre signe de notation : le [Lire la suite]