Les plus anciennes traces de la musique japonaise remontent au IVe siècle, mais elle existait déjà bien avant sous des formes primitives. Ce sont des moines qui, lors de leurs voyages fréquents en Chine, rapportèrent différentes notions musicales et de nouveaux instruments pour les enseigner à leur peuple.

Dès le VIe siècle, le [Lire la suite]

La musique occidentale ne permet généralement que deux modes d’allitération d’une note, qui sont le bémol et le dièse. Or, certaines musiques orientales en comprennent 92 et se déploient en une multitude de gammes, bien que l’utilisation de ce dernier terme corresponde plutôt à des notions occidentales.

La musique orientale [Lire la suite]

Essentiel à tout ce qui touche le domaine des percussions, le rythme est ce qui définit temporellement la musique et est généralement répété selon un intervalle régulier. Il forme, en quelque sorte, la structure d’une pièce musicale et en marque la cadence.

Le rythme peut être aussi régulier que le tic tac d’une horloge ou [Lire la suite]

La gamme couramment utilisée en Chine et au Japon est dite pentatonique, mais elle est également souvent appelée « gamme chinoise ». Contrairement à la gamme tempérée, la plus courante dans le monde occidental moderne et comprenant sept tons, la gamme pentatonique permet de jouer cinq hauteurs de son.

La musique orientale traditionnelle, notamment celle que l’on retrouve au Japon ou en Chine, a sa propre couleur et est très différente de la musique présente en Occident. La musique d’Orient se veut souvent méditative, symbolique et dotée d’un caractère spirituel marqué. De plus, il n’est pas rare qu’elle inclue certains [Lire la suite]

Anciennement, dans la musique occidentale, chacune des notes de la gamme était représentée par une lettre. C’est au cours du XIe siècle que Guido d’Arezzo donne leur nom aux notes, en s’inspirant des premières syllabes d’un chant grégorien en vers. Il nomme d’abord six notes (Ut, Ré, Mi, Fa, Sol, La), le Si sera ajouté plus [Lire la suite]